Notre mois du digital se poursuit ! Et si aujourd’hui, Centre France Pub se positionne comme un partenaire incontournable de la publicité locale en ligne, c’est avant tout grâce aux experts qui composent ses rangs. Véritable pivot de l’activité digitale, le Chargé de Développement Numérique fait le lien entre annonceurs et conseillers en solutions média pour proposer les dispositifs publicitaires les plus performants sur le web.
C’est le métier de journaliste qui a d’abord attiré Sylvain Laroche chez Centre France, mais finalement, c’est à la publicité commerciale puis dans l’équipe Digitale de la régie qu’il s’épanouit, s’appuyant sur d’indéniables talents narratifs et une grande empathie. Il nous partage ici sa vision du métier de Chargé de Développement Numérique.
Quel parcours as-tu eu avant d’arriver chez Centre France Pub ?
À la base je voulais être journaliste mais je savais que c’était un secteur assez compliqué à intégrer, je me suis donc plutôt orienté vers une filière commerciale. J’ai choisi un D.U.T. Techniques de Commercialisation et pendant les vacances scolaires je travaillais au journal dans d’autres services : aux expéditions, aux bobines ; j’ai aussi fait quelques piges au service des sports. Finalement, j’ai eu l’opportunité d’intégrer officiellement Centre France Pub comme télévendeur puis j’ai rapidement évolué sur un poste de commercial. Là, j’ai eu un déclic, ce que je faisais me plaisait tant que j’en avais oublié le journalisme. Je me suis consacré entièrement à cette mission de conseiller et depuis 5 ans j’accompagne les entreprises locales comme Chargé de Développement Numérique.
Tu es Chargé de Développement Numérique, peux-tu nous expliquer en quoi cela consiste ?
C’est très complet, je dirais qu’il y a quatre volets principaux :
Et si tu devais l’expliquer à un enfant ?
J’ai l’habitude de vulgariser au maximum les concepts pour m’assurer qu’ils soient bien compris par les annonceurs. Alors je ferais simplement pareil en m’adressant à un enfant en lui expliquant que mon métier c’est de faire en sorte que son magasin de bonbons préféré se fasse connaître auprès d’un maximum d’autres enfants.
Une journée type ça existe pour toi ?
Le premier réflexe ça va être de regarder où on en est sur les chiffres, puis la journée va être rythmée par les différents rendez-vous où j’accompagne les commerciaux. Ensuite il va y avoir la partie back-office (réalisation des devis, suivi des propositions et des campagnes, travail sur les recommandations…). Tout ce qui arrive derrière est de l’ordre de l’imprévu : nouvelles demandes clients, urgences… Aucune journée ne se ressemble, et c’est justement ce qui est intéressant.
Qu’est-ce qui te fait lever chaque matin ?
D’abord cette absence de monotonie, le fait de savoir que la journée n’est jamais écrite à l’avance. Et surtout avoir la chance de pouvoir rencontrer des annonceurs tous très différents les uns des autres. On peut travailler avec des gros institutionnels et des petits commerçants qui se lancent. Et moi qui suis curieux, ça me permet d’apprendre énormément.
Quels sont les points communs des annonceurs que tu accompagnes ?
Ce qui est commun à tous c’est une maturité de plus en plus marquée sur les sujets de communication digitale. Cela fait 10 ans que je suis sur le terrain et je le vois chaque jour. Avec notamment des produits de référencement Google qui sont désormais plébiscités parce que les professionnels sont conscients de l’importance du digital dans leur activité, quelle qu’elle soit.
Raconte-nous une anecdote amusante sur ton métier ?
C’est sans lien direct avec le digital, mais je repense notamment à un échange assez drôle avec une agence de rencontre qui nous parlait de ses clients les plus délicats à satisfaire, presque dignes du sketch “Tournez ménage” des Inconnus. Et finalement, ça montre bien la variété de sujets et problématiques qu’on est amenés à traiter.
Selon toi, c’est quoi être un bon Chargé de Développement Numérique ?
Personnellement, ce qui m’aide c’est d’abord l’expérience commerciale que j’ai acquise sur mes précédents postes. Et puis bien sûr, être empathique et à l’écoute, mais aussi savoir vulgariser nos offres et ne pas utiliser un vocabulaire trop technique. Il faut aussi être en mesure de prendre de la hauteur sur une problématique client pour proposer une solution qui s’intègre parfaitement à leur stratégie de communication globale.
LE TAC AU TAC
Travail seul ou en équipe ? En équipe
Préparation ou improvisation ? Préparation
Facebook Ads ou Google Ads ? Google Ads
Sandwich sur le pouce ou entrée-plat-dessert ? Entrée-plat, je ne suis pas très sucré !
Afterwork ou petit déj’ au bureau ? Afterwork (rapport au sucre encore)
À votre écoute pour répondre à vos besoins en solutions de communications locales, nous vous proposons des solutions plurimedia : print, digital, presse, hors media.
Dès la 3ème et jusqu’en post-bac, l’orientation scolaire est une étape clé pour les jeunes [...]
Lire l'articleEnsemble[s], le magazine des générations qui se parlent, est de retour les 6 et 7 novembre [...]
Lire l'articleDans ce nouvel épisode, Yves Siméon vous dit tout ce que vous devez savoir sur la rentrée [...]
Lire l'article